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jeudi 25 mars 2010

La coupe du monde est-elle un facteur de developpement?


La coupe d'Afrique des Nations passée, il reste pour cette annnée 2010 la dernière compétition majeure. Il s'agit bien sûr de la Coupe du monde. Le prestigieux tournoi doit cette fois- ci se jouait en Afrique du Sud. Ceux qui demandaient à quand le tour de l'Afrique sont maintenant servis. Cependant une question reste actuellement posée. La coupe du monde peut-elle favoriser le développement?

Du 11 juin au 11 juillet, l'Afrique sera le centre du monde. En effet la coupe du monde se jouera dans le continent noir pour la première et l'Afrique du sud aura l'honneur et le privilège d'en être l'heureuse organisatrice. Mais l'Afrique du sud peut-elle attendre de la coupe du monde le point de départ de son développement.
Il est évident que la coupe du monde peut être un facteur de developpement du fait des infrastructures que l'évenement permet de construire. Avec la coupe du monde, des milliers d'emplois sont crées dans le pays hôte. C'est pourquoi nous pensons que l'Afrique du sud peut à travers cette grande manifestation sportive promouvoir son ascension économique. Avec la coupe du monde, le pays organisateur peut parvenir à reduire son taux de chômage même si ce n'est que temporairement.

samedi 20 mars 2010

LA FAIM EST-ELLE TOUJOURS LIEE A LA PAUVRETE?


Si dans le monde aujourd'hui il y a un spectre qui hante, c'est bien sûr la faim. La faim peut être résumée en la sensation qu'on éprouve lorsqu'on a besoin de manger.
Cependant ce phénomène est souvent réduit à l'état de pauvreté. On a souvent tendance à assimiler cet état d'insatisfaction aux pauvres. D'où la pertinence de la question de savoir si vraiment la faim est toujours liée à la pauvreté.

La faim est différente de la pauvreté. Elle constitue un état de besoin dans lequel se trouve une personne. Vue sous cet angle, elle n'épargne personne. Tout le monde est susceptible d'avoir faim, de se retrouver dans un état de besoin. Donc elle peut ne pas être toujours liée à la pauvreté qui quant à elle peut être comprise comme un manque soit d'argent soit de ressources. Elle caractérise l'état d'une personne pauvre. Ainsi contrairement à la faim qui affecte tout le monde, la pauvreté est une réalité qui dans sa dimension peut être géographiquement localisée. Et globalement, elle est plus présente dans les pays du sud encore appelés pays sous développés ou en voie de développement. Il est important de remarquer que dans ces zones, la pauvreté est fréquemment liée à la faim. Les gens ont faim parce qu'ils sont pauvres; Cet état de fait est une caractéristique de la pauvreté accrue qui affecte les pays pauvres.
Dans les pays développés, le terme pauvreté n'est pas toujours assimilée à la faim mais il désigne l'état d'une personne qui n'a pas d'économie. Une personnes est dite pauvre lorsqu'elle dépense tout ce qu'elle a pour sa subsistance.
Ainsi considérées, la faim et la pauvreté sont deux termes qui sont souvent confondus mais au fond ils sont différents du point de vue sémantique car ils n'expriment pas tous les deux le même état de fait.
cependant, on ne peut pas les opposer totalement. Car meme si la faim n'est pas toujours liée à la pauvreté, cette dernière peut être un facteur de son développement dans les pays du sud.

LE CESTI AU COEUR DU BILAN DES INDEPENDANCES EN AFRIQUE 50 ANS APRES



Le mercredi 17 mars 2010, l'Amicale des étudiants du CESTI a organisé une conférence sur le bilan des indépendances des pays africains 50 ans après.


Indépendance des pays africains, quel bilan 50 ans après?

Telle était la question que les étudaints du CESTI à travers leur amicale ont voulu résoudre en apportant des élèments de réponse. Reunis à la salle du foyer du centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information, autour de M. Thierno DIOP, philosophe, et M. Ismaila Madior FALL, constitutionnaliste, les étudiants ont passé en revue le cinquantaire d'existence des Etats africains indépendants.

La conférence a débuté à 15 heures 20 minutes sous l'égide de M. Barka BA, journaliste et modérateur de la rencontre, mais aussi de la Directrice du CESTI Mme Eugenie Rokhaya Aw N'DIAYE.

Dès l'entame, la parole a été donnée à M. Adama DIONE, étudiant, qui a broséé le sujet du point de vue littéraire en montrant que les indépendances après avoir été réclamées et obteus par beaucoup d'écrivains africains (Chinua Achébé), ont été perçues par ceux-là mêmes qui les réclamaient comme facteurs de desillusion.

Quant au constitutionnaliste I. M. FALL, il a porté son intervention sur la démocratie. Pour lui, le processus démocratique en Afrique remonte aux indépendances contrairement à l'idée répandue le ramenant aux années 1990. Pour M. FALL, les Etats africains ont fait beaucoup de progrès dans le domaine institutionnel. Il a cité en exmple l'instauration de la clause limitant les mandats à deux mandats dans presque tous les pays africains.

Cependant force est de reconnaitre pour M. FALL que dans ces mêmes Etats on assiste à la remise en cause des facteurs institutionnels élémentaires comme les deux tours lors de l'élection présidentielle.

Ceci permet au constitutionnaliste de conclure en comparant les Etats africains à Sysyphe qui chaqie fois qu'il croit atteindre son but est ramené à la cage de départ.

Pardoxalement, M. thierno DIOP lors de sa prise de parole a tenu à marquer sa désapprobation par rapport au raisonnement de M. FALL. Pour ce philosophe, la démocratie est une réalité extérieure à l'Afrique. Elle lui a été imposée selon M. DIOP. C'est ce qui a permis au philosophe et enseignant au CESTI d'affirmer:"nos pays sont des néo-colonies". Et M. DIOP de poursuivre, "les droits de l'homme et la démocratie sont des pièges qui nous ont été tendus et les africains y sont malheureusement tombés".

Ce débat d'idées sur l'Afrique du cinquantenaire des indépendances a été clos sur un constat d'échec des indépendances et des politiques comme l'a heureusement souligné M. CAMARA , étudiant en 1ère année au CESTI.

vendredi 12 mars 2010

Le réal de Madrid ou la faillite d'une politique!


Une fois de plus le Réal de Madrid s'est fait sortir en huitième de finale de la ligue européenne de champions.

L'Espagne ne compte plus que deux clubs dans la compétition européenne des champions. Une de ses plus grosses chances de remporter le trophée européen des clubs a été éliminée mercredi dernier en huitième de finale par l'Olympique Lyonnais, un club français de première division.
c'est la 6ème fois que le Réal de Madrid rate son objectif de début de saison. Cependant l'échec du mercredi sonne comme celui de trop. Élu par les socios au mois de novembre, le Président du club madrilène Florentino Pérèz s'était fixé comme objectif principal la victoire finale à la ligue des champions. Et pour se faire, le club meringuais s'était doté des gros moyens. Ainsi à l'image du Réal du début des années 2000dirigé par ce même président où on a vu le club espagnol recruter les grands noms du football mondial de l'époque: Zidane, Ronaldo, Figo, et Beckam, le club madrilène de la fin de la première décennie de l'an 2000 a mis la main à la poche débloquant ainsi plus de 250millions d'euros pour s'offrir les services du français Karim Benzema, de l'espagnol Xavi Alonso, du ballon d'or brésilien Kaka, et du ballon d'or portugais Ronaldo. Avec cet échec c'est tout un projet à court terme qui tombe à l'eau.
L'échec est d'autant plus cuisant que la finale de ladite ligue se tiendra à Santiago Bernabéau, temple du club madrilène.
L'efficacité de la politique des gros recrutements se pose actuellement au Réal de Madrid avec insistance. Cette problématique est d'autant plus pertinente qu'actuellement les plus grands clubs qui aspirent à décrocher le trophée fonde leur espoir sur la formation avec souvent des résultats probants( Arsenal, FC Barcelone).

vendredi 5 mars 2010

Un reveil de lion!


La victoire des lions de la Téranga face aux grecs à Volos présage le début d'un commencement qui nourrit beaucoup d'espoirs. Avec une nette victoire face aux dieux grescs, les poulains d'Amara Traoré reviennent de trrès loin. Un groupe est né avec comme métronome Mamadou Niang de l'Olympique de Marseille, auteur du premier but inscrit à la 71ème minutes et par ailleurs capitaine des lions.
Le but du break a été l'œuvre de Guirane N'daw, rentré quelques minutes plus tôt, sur un coup franc magistralement exécuté à la 81ème minutes.
Cette victoire est symboique à plusieurs égards:
Primo elle signe la prise de fonction du nouvel entraineur( local) et de son staff. Secundo, elle ouvre une nouvelle ère dans l'histoire de la tanière.
Avec cette victoire oh combien importante face aux grecs, les Lions seront attendus au tournant. Attendus au tournant du fait de la présence la sur la route des qualifiations pour la CAN 2012 des autres lions qu'on qualifie d'(in)domptables. En outre cette victoire vient battre en brèche ce que d'aucun pensait du football sénégalais c'est à dire qu'il était morribond.
Vivement cet esprit noueau dans la tanière et une participation de nos lions à la prochaine CAN 2012. Kc.